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Published on 15 mai, 2014

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5 points que j’aurais aimé connaître : Conseils d’une récente diplômée (troisième volet)

Le présent article a été republié à partir du numéro de mars 2014 du Coin des étudiants.

Melanie Moore Tapson, O(C), est une ex-représentante nationale des membres étudiants (RNMÉ) d’OAC et une récente diplômée du programme d’Orthophonie de l’Université Dalhousie. Dans cette série en trois volets, Melanie offre ses principaux conseils aux étudiants :

1. Demeurez en contact.

Vos condisciples d’aujourd’hui sont vos collègues de demain — et vos ressources exemplaires. Alimentez vos liens professionnels et vos nouvelles amitiés. Ne coupez pas les ponts. Vous souhaiterez avoir une liste de gens à qui téléphoner lorsqu’un client présente une anomalie que vous connaissez mal.

2. Essayez avant d’acheter. 

Les droits d’inscription des étudiants aux organisations professionnelles sont beaucoup plus avantageux que les droits des membres à part entière. Tandis qu’il est encore temps pour vous de le faire, envisagez la possibilité de joindre des associations — OAC, évidemment, mais également votre association provinciale ou territoriale et toute autre organisation — en contrepartie d’un tarif étudiant très escompté. Parfois, c’est en fait gratuit! Bon nombre d’organisations offrent même des rabais pour la (les) première(s) année(s) entière(s) à quiconque était un membre étudiant. C’est une excellente façon de découvrir lesquelles valent l’investissement, et une occasion de réseauter avec des personnes qui travaillent déjà aux endroits qui vous intéressent!

3. Connectez-vous en ligne.

Joignez un serveur de liste, un groupe de discussion LinkedIn, la NaHSSA*, la NSSLHA*, des groupes Facebook, des groupes d’intérêts spéciaux et tout regroupement qui vous aidera à réseauter, à établir des liens, à discuter, à poser des questions, à observer, à vous investir et à en découvrir davantage sur la nature du travail (et de la vie en général) après les études supérieures. Je ne vous dirai jamais assez à quel point pareille participation a fait toute une différence dans l’amélioration de mes connaissances et de ma capacité de collaborer. Sans compter la confiance qu’elle vous apporte à vous et la collectivité dont vous faites partie!

4. Soyez souples.

Le marché de l’emploi est tout aussi concurrentiel que l’accession aux études supérieures. Sachez que si vous décrochez un poste convoité, vous pourriez obtenir l’emplacement ou la population que vous affectionnez particulièrement, mais vous pourriez ne pas obtenir les deux. Votre valeur sûre est de faire preuve de souplesse et de vous rapprocher du lieu où se trouvent ces possibilités, ou de prendre l’initiative et de créer votre propre travail. Voyez ce qui compte le plus pour vous et sachez que le long de votre parcours idéal, chaque possibilité constitue une expérience d’apprentissage. Vous ne savez jamais ce que vous aimerez faire et ne pouvez prédire en quoi tout ce parcours vous transformera. Soyez prêts, souples et créatifs.

5. Rédigez un curriculum vitae ou un portfolio préliminaire.

Il n’est jamais trop tôt pour commencer! Demandez-vous : qu’est-ce qui me rend unique? Qu’est-ce qui me démarquera aux yeux des employeurs parmi tous ces nouveaux diplômés outillés du même diplôme? Réfléchissez-y et inspirez-vous-en tout au long de votre programme d’études. Ne vous concentrez pas sur vos notes au point d’oublier de parfaire vos compétences et d’essayer des choses nouvelles. Ce n’est pas le moment de vous camper sur vos pattes. Posez-vous la question à savoir pourquoi vous voulez cet emploi si vivement — et commencez à vous employer à installer votre métier de rêve dès maintenant. Et, par-dessus tout… amusez-vous!


Melanie remercie ses collègues Shauna Stokely, O(C), candidate au Ph. D. Carly Barbon, et Melanie Peladeau-Pigeon pour avoir contribué leurs réflexions à cet article.
 
*Disponible qu’en anglais.




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